mardi 23 novembre 2010
Une escale vers la Bretagne : chambres d'hôtes à Laval
Laval se trouve à mi-chemin entre Paris et Quimper, à trois heures de chaque côté. J'ai le plaisir de vous présenter, une fois n'est pas coutume, une chambre d'hôtes qui vaut le détour : "Fleurs des champs".
Dans une ferme encore en activité (pour quelques mois), cinq jolies chambres accueillent le touriste de passage ou le commercial en déplacement à la recherche de convivialité.
Des propriétaires sympathiques, un environnement bucolique (jolies massifs de fleurs, étang où s'ébattent les canards... ), une décoration soignée par la maîtresse des lieux, peintre à ses heures, et un tarif des plus raisonnables.
Je vous laisse découvrir par vous-même :
C'est désormais notre "port d'attache" quand nous venons voir notre étudiant, à Laval.
Malheureusement, pas de table d'hôtes mais une cuisine est à disposition pour un dîner sur le pouce et Laval n'est pas très loin. Le petit-déjeuner est copieux avec gâteaux, yaourts et confitures "maison".
En ce moment, la ville de Laval est illuminée pour les fêtes de fin d'année. Il faut en profiter.
Coordonnées : Fleurs des Champs.
samedi 20 novembre 2010
Une balade autour du port de Doëlan
Un port breton de carte postale, le petit port de Doëlan sur la côte Sud du Finistère.
Le départ de la balade se fait, au parking du phare, sur la rive gauche du port, là où sont blottis les petits restaurants et terrasses de cafés. Cette balade est proposée par le Topo-guide des sentiers de randonnée - Finistère Côte de Cornouaille. C'est avec plaisir que nous vous le prêterons. Une agréable randonnée de 1h15 dit le guide, nous en avons mis 2 car nous avons flâné et pris quelques photos (à découvrir)...
Chemin sous les pins ombragés, passage d'un cours d'eau, traversée d'un champs avec vue sur un moulin à vent, découverte d'un magnifique calvaire au détour d'un sous-bois, traversée d'un hameau fleuri... Le sentier est bien balisé et serpente sur les deux rives. Aucune difficulté, pas de dénivelé important, très bien pour nous qui ne sommes pas de grands randonneurs.
Au retour, pourquoi pas faire une halte au bar-restaurant-glacier, "Le Suroit", ouvert toute l'année ?
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jeudi 11 novembre 2010
Kériolet : le château d'une princesse Russe
Une princesse Russe à deux pas de la ville close de Concarneau ? Hé oui, le château du XVème, fût réaménagé au XIXè selon la volonté de la princesse impériale russe Zénaïde Narischkine, tante du Tsar Nicolas II.
Un véritable joyau d'architecture néo-gothique où se mêle les symboles de la royauté française, de la
cour impériale russe et du duché de Bretagne !
Mais le plus surprenant dans ce lieu et peut-être l'arbre généalogique imaginaire du mari de la princesse, le "comte" Charles de Chauveau...Roturier de naissance, il s'est fabriqué de glorieux ancêtres que l'on retrouve représentés sur les vitraux du salon de réception.
Ne manquez pas la visite des cuisines qui miraculeusement ont survécu aux nombreux pillages qu'a subit le château.
Le propriétaire actuel a entrepris depuis 1988, une minutieuse restauration pour retrouver l'état et l'ambiance qu'a connu la princesse.
Une visite guidée vous racontera et dévoilera les aventures de la princesse et du château. Vous contribuerez ainsi vous aussi à la sauvegarde du patrimoine.
Pour continuer la visite, en ressortant du château allez jusqu'au cimetière de Coat Conq, à 5 mn, une surprise vous y attend...
Le château est ouvert pendant les vacances scolaires et de Pâques à la fin mai. La visite guidée du château a lieu tous les jours de juin à septembre sauf le samedi après-midi.
Retrouvez les infos pratiques sur le site : châteaudeKériolet.com
L'île Tristan en baie de Douarnenez
On pourrait la surnommer : "l'île aux milles vies", tantôt prieuré de chanoines, garnison militaire, conserverie, lieu de villégiature d'une riche famille parisienne... elle n'a cessé d'éveiller la curiosité : serait-elle le refuge de Tristan et Iseult ? Les héros de la légende celte...
Après avoir réservé auprès de l'office de tourisme, le rendez-vous est donné au port de Tréboul, pour la traversée en bateau. En effet, l'accès de l'île à pied à marée basse ne se fait qu'à fort coefficient de marée donc assez rarement.
C'est le conservateur du littoral qui accueille sur l'île et fait faire le tour du propriétaire, sur près de 7 hectares. On découvre alors, une île très riche en histoire et paysages.
L'île est traversée de chemins bordés de murs de pierres gagnés par la végétation : verger, jardin exotique et allées ombragées d'un côté ; grèves et falaises de l'autre.
Au détour d'un chemin, on découvre le phare qui domine l'île et appartient toujours aux phares et balises. Et dans une clairière, un fortin Vauban se dresse.
A l'origine, construit à des fins militaires, il fût habité par la famille du gardien du phare. Une petite visite à l'intérieur révèle ce qui reste des anciennes pièces maintenant nues : carrelage pour la cuisine et plancher en bois pour les autres pièces. Un escalier permet d'accéder à la terrasse, avec une jolie vue sur la mer.
Au XVIème siècle, l'île servit de refuge au bandit Guy Eder de la Fontenelle. A partir de ce site, il mit la région à feu et à sang. Il enlève pour l'épouser l'héritière de Mezarnou, âgée de 14 ans, jeune fille de haute noblesse qu'il aima follement. Il vécut en sa compagnie dans son île jusqu'à son arrestation en 1602.
A la fin du XIXème siècle, une presse à sardines est construite sur l'île. La famille du poète Jean Richepin s'installera à Tristan pendant quelques décennies jusque dans les années 1990.
Aujourd'hui, l'île appartient au Conservatoire du Littoral et est gérée par la commune de Douarnenez.
Renseignements : Office de tourisme de Douarnenez.
Après avoir réservé auprès de l'office de tourisme, le rendez-vous est donné au port de Tréboul, pour la traversée en bateau. En effet, l'accès de l'île à pied à marée basse ne se fait qu'à fort coefficient de marée donc assez rarement.
C'est le conservateur du littoral qui accueille sur l'île et fait faire le tour du propriétaire, sur près de 7 hectares. On découvre alors, une île très riche en histoire et paysages.
L'île est traversée de chemins bordés de murs de pierres gagnés par la végétation : verger, jardin exotique et allées ombragées d'un côté ; grèves et falaises de l'autre.
Au détour d'un chemin, on découvre le phare qui domine l'île et appartient toujours aux phares et balises. Et dans une clairière, un fortin Vauban se dresse.
A l'origine, construit à des fins militaires, il fût habité par la famille du gardien du phare. Une petite visite à l'intérieur révèle ce qui reste des anciennes pièces maintenant nues : carrelage pour la cuisine et plancher en bois pour les autres pièces. Un escalier permet d'accéder à la terrasse, avec une jolie vue sur la mer.
Au XVIème siècle, l'île servit de refuge au bandit Guy Eder de la Fontenelle. A partir de ce site, il mit la région à feu et à sang. Il enlève pour l'épouser l'héritière de Mezarnou, âgée de 14 ans, jeune fille de haute noblesse qu'il aima follement. Il vécut en sa compagnie dans son île jusqu'à son arrestation en 1602.
A la fin du XIXème siècle, une presse à sardines est construite sur l'île. La famille du poète Jean Richepin s'installera à Tristan pendant quelques décennies jusque dans les années 1990.
Aujourd'hui, l'île appartient au Conservatoire du Littoral et est gérée par la commune de Douarnenez.
Renseignements : Office de tourisme de Douarnenez.
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Dans les coulisses de la criée au Guilvinec
Rendez-vous, à l'Haliotika, au Guilvinec, pour une visite des coulisses de la criée.
Une fois les bateaux déchargés au retour de pêche et la vente à la criée effectuée, il reste à préparer le poisson pour qu'il se retrouve sur l'étal du poissonnier.
Notre guide, nous présente la salle où s'est déroulée la vente, puis nous entraine vers les ateliers des mareyeurs qui vont préparer le poisson pour les commandes et expéditions.
La majorité de la pêche est destinée au marché de l'Ouest, le reste part pour Rungis afin d'avitailler la région parisienne.
Quelques produits de la pêche comme les très grosses langoustines sont réservées à l'export. Les Japonais et les Américains en raffolent !
Après 2 heures, notre visite s'est terminée par une dégustation des "demoiselles"... C'est le surnom des langoustines, comme les demoiselles, elles sont très convoitées...
"la Belle & la Bête" (notre guide avec une baudroie ou lotte").
Petite surprise : un hippocampe remonté dans les filets...
En séjour chez nous, nous vous remettons le "Passeport Vacances Gîtes de France" qui vous donne droit à une remise de -10% sur la visite d'Haliotika et de la criée.
Pour en savoir plus sur Haliotika
Une fois les bateaux déchargés au retour de pêche et la vente à la criée effectuée, il reste à préparer le poisson pour qu'il se retrouve sur l'étal du poissonnier.
Notre guide, nous présente la salle où s'est déroulée la vente, puis nous entraine vers les ateliers des mareyeurs qui vont préparer le poisson pour les commandes et expéditions.
La majorité de la pêche est destinée au marché de l'Ouest, le reste part pour Rungis afin d'avitailler la région parisienne.
Quelques produits de la pêche comme les très grosses langoustines sont réservées à l'export. Les Japonais et les Américains en raffolent !
Après 2 heures, notre visite s'est terminée par une dégustation des "demoiselles"... C'est le surnom des langoustines, comme les demoiselles, elles sont très convoitées...
"la Belle & la Bête" (notre guide avec une baudroie ou lotte").
Petite surprise : un hippocampe remonté dans les filets...
En séjour chez nous, nous vous remettons le "Passeport Vacances Gîtes de France" qui vous donne droit à une remise de -10% sur la visite d'Haliotika et de la criée.
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